After having completed the Ex.e.r.ce training at CCN Montpellier, Maud Le Pladec has performed for several choreographers such as Georges Appaix, Emmanuelle Vo-Dinh, Loïc Touzé, Mathilde Monnier, Herman Diephuis, Mette Ingvartsen and Boris Charmatz. In 2010, she created her first piece Professor, choreographic piece for three performers on the music of Fausto Romitelli. In 2011, she created Pœtry second part of a diptych around Fausto Romitelli. In 2012, she initiated To Bang on a Can, a research and creation project with three pieces and various artistic projects over four years (2012-2015). Ominous Funk and Demo, around and from the musical work of composers David Lang and Julia Wolfe, were then the starting point of this long-term project. In 2013, Maud Le Pladec was recipient of the Hors les Murs program at the Institut français and conducted a research in New York on the current of post-minimalist American music. From this research came the creation of Democracy, a piece for five dancers and four drums (Ensemble TaCtuS) and Concrete (2015), a major project conceived for five dancers and nine musicians from Ensemble Ictus. In 2015, Maud Le Pladec was invited by the Lille Opera to collaborate on the creation of the Xerse Opera (Cavalli / Lully, directed by Guy Cassiers, musical direction Emmanuelle Haïm / Concert d'Astrée). That same year, she initiated a new cycle of creations around the word given to women by co-creating Hunted with New York performer Okwui Okpokwasili.
Her works have been awarded with several prizes and distinctions: prize of the choreographic revelation of the Syndicate of the French critic in 2009, prize Garden of Europe in 2010, Knight of the Order of Arts and Letters in 2015.
In 2016, she worked at the Opéra National de Paris on Eliogabalo (Francesco Cavalli) with director Thomas Jolly and under the musical direction of Leonardo Garcia Alarcon. At the same time, Maud Le Pladec has been an associate artist at La Briqueterie - CDCN in the Val de Marne and keeps performing in the pieces of Boris Charmatz (Levée des conflits, Enfant, Manger, 10000 gestes, Infini).
Since January 2017, she succeeded Josef Nadj and directs the Centre chorégraphique national d'Orléans. She created Moto-Cross (The Subsistances / Biennale Val de Marne), Je n'ai jamais eu envie de disparaître with the author Pierre Ducrozet as part of Concordan(s)e and Borderline in collaboration with the director Guy Cassiers. In 2018, she created her last piece Twenty-seven perspectives, performance for 10 dancers built around Schubert’s Unfinished Symphony. In 2021, she presents Static Shot with CCN - Ballet de Lorraine, and counting stars with you (musiques femmes), a creation dedicated to women composers in the musical heritage. In 2022, she creates Silent Legacy at Festival d’Avignon.
Après avoir suivi la formation Ex.e.r.ce au CCN de Montpellier, Maud Le Pladec est interprète pour plusieurs chorégraphes comme Georges Appaix, Emmanuelle Vo-Dinh, Loïc Touzé, Mathilde Monnier, Herman Diephuis, Mette Ingvartsen ou encore Boris Charmatz. En 2010, elle crée sa première pièce Professor, pièce chorégraphique pour trois interprètes sur la musique de Fausto Romitelli. En 2011, elle crée Poetry deuxième volet d’un diptyque autour de Fausto Romitelli. En 2012, elle initie « To Bang on a can », projet de recherche et de création déclinant trois pièces et divers chantiers artistiques sur quatre ans (2012-2015). Ominous Funk et Demo, autour et à partir de l’œuvre musicale des compositeur•ice•s David Lang et Julia Wolfe, seront le point de départ de ce chantier au long cours. En 2013, Maud Le Pladec est lauréate du programme Hors les Murs de l’Institut français et effectue dans ce cadre une recherche à New York sur le courant de la musique post-minimaliste américaine. De cette recherche naissent la création Democracy, pièce pour cinq danseur•se•s et quatre batteries (Ensemble TaCtuS) et Concrete (2015), projet d’envergure conçu pour cinq danseur•se•s et neuf musicien•ne•s de l’Ensemble Ictus. En 2015, Maud Le Pladec est invitée par l’Opéra de Lille à collaborer à la création de l’Opéra Xerse (Cavalli / Lully, mise en scène Guy Cassiers, direction musicale Emmanuelle Haïm / Concert d’Astrée). Cette même année, elle initie un nouveau cycle de créations autour de la parole donnée aux femmes en co-créant Hunted avec la performeuse new yorkaise Okwui Okpokwasili.
Ses œuvres ont été récompensées par des prix et distinctions : prix de la révélation chorégraphique du Syndicat de la critique française en 2009, prix Jardin d’Europe en 2010, Chevalier de l’ordre des arts et des lettres en 2015.
En 2016, elle travaille à l’Opéra National de Paris sur Eliogabalo (Francesco Cavalli) avec le metteur en scène Thomas Jolly et sous la direction musicale de Leonardo Garcia Alarcon. Parallèlement, Maud Le Pladec est artiste associée à La Briqueterie — CDCN du Val de Marne et continue à danser pour Boris Charmatz (Levée des conflits, Enfant, Manger, 10 000 gestes, Infini).
Depuis janvier 2017, elle succède à Josef Nadj et dirige le Centre Chorégraphique National d’Orléans. Elle a créé depuis Moto-Cross (Les Subsistances / Biennale du Val de Marne), Je n’ai jamais eu envie de disparaître avec l’auteur Pierre Ducrozet dans le cadre de Concordan(s)e, Borderline en collaboration avec le metteur en scène Guy Cassiers et Twenty-seven perspectives pour le Festival Montpellier Danse 2018. Une première collaboration avec le monde du cinéma prend forme avec Valérie Donzelli et son film Notre-Dame, sortie en 2019. En 2021, elle a présenté Static shot avec le CCN — Ballet de Lorraine, et counting stars with you (musiques femmes), une création dédiée au matrimoine musical. Et en 2022, elle crée Silent Legacy au Festival d’Avignon.