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  Conception et mise en scène Thomas Guérineau

  

  Conception et mise en scène Thomas Guérineau

  Thomas Guérineau taught himself juggling at age 15. He honed his skills at the Annie Fratellini school from 1992 to 1996, along with learning dance, acrobatics and mime. These years of instruction taught him the importance of the art of movement. He was drawn to dance and music, taking part in opera ballets and practicing the clarinet, percussion and singing. 

  In 2008, Thomas Guérineau and Rémi Laroussinie created the Festival Rencontre des Jonglages, which remains one of the largest juggling events in existence. They founded La Maison des Jonglages in the same vein, and co-led it until 2010. 

  Because juggling techniques are vectors of sensation, Thomas Guérineau uses this aspect of the body-sound-object relationship to put the public in direct contact with the essence of his work. Sharing has taken on a particularly important role in his journey as musical juggling has developed in his recent collective pieces, such as Maputo-Mozambique (2013), or Rêverie and Ombres, corps, sons (2020). 

  Thomas Guérineau commence le jonglage à l’âge de 15 ans en autodidacte. Il continue à s’y former aux côtés de la danse, l’acrobatie et du mime à l’école Annie Fratellini de 1992 à 1996. C’est au cours de ces années d’apprentissage que l’art du geste prend pour lui de l’importance. Son attirance pour la danse et la musique l’amène à participer à des ballets d’opéra et à pratiquer également la clarinette, la percussion et le chant. 

  En 2008, Thomas Guérineau crée avec Rémi Laroussinie la Rencontre des Jonglages, ce festival qui compte encore aujourd’hui parmi les plus importantes manifestations dédiées à cet art. Dans ce même élan, ils ont également fondé puis co-dirigé La Maison des Jonglages jusqu’en 2010. 

  Parce que les techniques du jonglage sont vectrices de sensations qu’il éprouve dans son rapport corps-son-objet, Thomas Guérineau mobilise cette pratique pour mettre en contact direct le public avec l’essence de son travail. L’acte de transmission prend une place d’autant plus prépondérante dans son parcours que le jonglage musical se développe dans ses récentes créations collectives, telles que Maputo-Mozambique créée en 2013, ou Rêverie et Ombres, corps, sons (2020). 

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